Un groupe de chercheurs de Brême a étudié l'impact de la consommation de tabac à priser sur la santé, voire sur des maladies comme le cancer. Mené par Eberhard Greiser, un chercheur de l'Institut d'épidémiologie et de recherche sur la prévention de l'université de Brême (BIPS), ce groupe a étudié les effets du snuff et le risque accru de cancer nasal qui en résulte. Il est arrivé à la conclusion qu'il n'y avait pas de risque accru de cancer nasal chez les non-fumeurs qui sniffaient. (Source. aerztezeitung.de)
Ce tabac raffiné est une alternative idéale aux autres produits du tabac comme les cigares ou les cigarettes. Comme cette forme de tabac n'est pas fumée et ne produit donc pas de substances toxiques comme la suie, le tabac à priser présente un peu moins de risques que la cigarette. Mais il contient de la nicotine comme tout autre tabac et peut donc créer une dépendance, car la nicotine est absorbée dans le corps par les muqueuses nasales. Il contient des nitrosamines, qui sont présentes dans tous les tabacs. Il y a donc un risque de dépendance à la nicotine. Les muqueuses nasales peuvent également être endommagées par une grande quantité de poudre à chiquer.